Héritière de l’ancienne arène “la Cage”, le Cratère est une arène clandestine violente.

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Comment entend-on parler du Cratère ?

L’existence même du Cratère est un secret de polichinelle, largement éventé par les journaux, les affiches et les on-dit. Pourtant, alliés puissants, mécènes aux bourses pleines ou, peut-être, pas si illégale que ça ? l’arène perdure, sans être inquiétée par la loi de Nald’Thal. 

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Qui vient au Cratère ?

N’y entrent que les parieurs, les amateurs de frisson, les âmes qu’ennuient les combats illusoires où ni duellistes ni spectateurs ne risquent quoique ce soit.

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Combattants amateurs ou professionnels ?

Les combattants qui s’y présentent sont dits “amateurs” car ils n’appartiennent pas aux guildes ni compagnies de pugilistes éorzéennes. Ne vous y trompez pas : ils frappent au moins aussi fort et bien que les “professionnels” et les blessures lourdes ne les effraient pas !

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Ce que le Cratère a de dur :

Venir au Cratère, c’est s’attendre à voir des êtres humains se battre à mains nues jusqu’à verser le sang, et subir des blessures parfois graves. C’est risquer perdre de l’argent. C’est participer, l’espace d’un soir, à une activité frôlant dangereusement les frontières de la légalité. Mais qu’est-ce que la loi, à Ul’dah, quand les gils entrent en jeu ?

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Les échanges et le respect au Cratère :

Venir au Cratère, c’est aussi y trouver un encadrement strict, dans lequel le respect est exigé. Respect entre combattants, respect envers les combattants ET l’équipe gérante. C’est encourager haut et fort les duellistes qui s’affrontent dans la fosse : ils saignent pour vous, faites du bruit pour eux !